Afin de répondre à la demande du Service des affaires sociales de la ville de Carouge de réaliser un travail photographique qui devait traiter du racisme, j’ai exploré l’idée que pour être intolérant ou tolérant envers autrui, il faut être au moins deux.
Donc : Que pour chaque images,je photographierais deux personnes que j’ai appelé «des binômes». Que mises bout à bout, les photographies seraient plus fortes si elles montraient uniquement des situations apaisées,prétextant que pour voir ou lire des situations contrastées,il suffisait d’allumer nos écrans pour visualiser ces contres-exemples.
Ainsi mon postulat était simple: Photographier deux personnes qui ne vivent pas ensemble, qui n’ont pas de liens familiaux , qui ne sont pas amoureux et qui n’ont pas de grande différence d’âge mais qui par contre, ont chacune dans un coin de leur histoire une origine différente.
Pour ce travail, les personnes volontaires ont étés photographiées frontalement. Elles ont pris du temps pour moi en répondant à mes exigences et aux contraintes de la photographie. Elles se sont serréestouchées, enlacées regardées, déplacées des dizaines de fois.Je voulais qu’elles vivent la situation pour de vrai, que ce ne soit pas que du jeu. Et cela ne l’était pas… L’ ajout de lumière permet de créer une unité entre les images, de mettre en valeur les personnes et leurs participations en différenciant ces portraits des multiples que l’on fait tous les jours sur son smartphone. Ainsi chaque image raconte une histoire silencieuse qui prête à l’imagination. Chacune dévoile la quintessence du respect mutuel des relations harmonieuses et de l’amitié. Mises côte-à-côte en grand format, en les balayant du regard cet idéal devientconcret et c’est ça qui est beau. Et même si cette expo n’est qu’une parenthèse enchantée dans un monde qui s’insulte, elle a le mérite de réunir ces magnifiques binômes et d’inviter à la réflexion durant cette semaine de la diversité.
Donc : Que pour chaque images,je photographierais deux personnes que j’ai appelé «des binômes». Que mises bout à bout, les photographies seraient plus fortes si elles montraient uniquement des situations apaisées,prétextant que pour voir ou lire des situations contrastées,il suffisait d’allumer nos écrans pour visualiser ces contres-exemples.
La suite du texte de présentation du projet
Ainsi mon postulat était simple: Photographier deux personnes qui ne vivent pas ensemble, qui n’ont pas de liens familiaux , qui ne sont pas amoureux et qui n’ont pas de grande différence d’âge mais qui par contre, ont chacune dans un coin de leur histoire une origine différente.
Pour ce travail, les personnes volontaires ont étés photographiées frontalement. Elles ont pris du temps pour moi en répondant à mes exigences et aux contraintes de la photographie. Elles se sont serréestouchées, enlacées regardées, déplacées des dizaines de fois.Je voulais qu’elles vivent la situation pour de vrai, que ce ne soit pas que du jeu. Et cela ne l’était pas… L’ ajout de lumière permet de créer une unité entre les images, de mettre en valeur les personnes et leurs participations en différenciant ces portraits des multiples que l’on fait tous les jours sur son smartphone. Ainsi chaque image raconte une histoire silencieuse qui prête à l’imagination. Chacune dévoile la quintessence du respect mutuel des relations harmonieuses et de l’amitié. Mises côte-à-côte en grand format, en les balayant du regard cet idéal devientconcret et c’est ça qui est beau. Et même si cette expo n’est qu’une parenthèse enchantée dans un monde qui s’insulte, elle a le mérite de réunir ces magnifiques binômes et d’inviter à la réflexion durant cette semaine de la diversité.
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