» Fêter la vie c’est descendre d’une voiture dans la poussière, la boue, les flaques. Le Père Raphaël de l’église en chantier de Mariani sonne la cloche, on s’approche de l’entrée, on change ses chaussures, on enfile celles qui finissent le costume, on se tamponne les mollets avec un mouchoir humide, on dégage le cuir rouge, blanc et violet d’une attaque de poussière. On parcourt les 3 derniers mètres comme si l’on marchait sur la banquise, et l’on s’engouffre dans l’ordre propre. »
( Markus Schmid / Magmafele )